Révélation sur les composants de la e-cig : une nouvelle rassurante pour les vapoteurs

Alors que la tension reste tendue entre les accros à la cigarette électronique et leurs opposants, les anti-e-cigarettes, une nouvelle vient de faire surface, une nouvelle qui semble jouer en faveur des producteurs de l’e-cigarette comme le géant du Tabac R.J. Reynolds. En effet, une récente étude en laboratoire a révélé que les ecigs ne contiennent ni de particules métalliques ni de substances cancérigènes. D’après cette étude, les spécialistes peuvent affirmer que la consommation de ce produit dernier cri ne représente que très peu de risque pour la santé. Ce que révèlent les études en laboratoire Devant la décision prise par l’Union Européenne à vouloir mieux contrôler les modes de fabrication des e-cigarettes, il se trouve que ces produits ne représentent pas une menace que ce soit pour le vapoteur ou bien pour son entourage. Tant que les exigences de fabrication seront respectées, il n’y aura que très peu de risque pour les utilisateurs de ce produit. Le salon Vapexpo a permis de confirmer cela en communiquant quelques détails sur les éléments constitutifs de l’e-cigarette : on n’a trouvé « aucun élément cancérigène ou métallique » dans certaines marques de clope électronique comme VUSE. Une étude en laboratoire menée par certains membres de la Société de toxicologie, qui a eu lieu la semaine passée à l’occasion d’une réunion annuelle, a permis d’affirmer que le degré de sécurité à la fabrication de la cigarette électronique est très rassurant. Le potentiel en nicotine dans l’ecig est en effet sans danger pour son utilisateur et les éléments constitutifs de ce produit permettraient même la libération d’un aérosol. Après une étude minutieuse des composants du vaporisateur personnel, ce même laboratoire affirme que ce produit est dépourvu ou ne contient que très peu de ses éléments : carbonyle, métaux, composés organiques volatiles ou encore nitrosamines spécifiques au tabac qui sont particulièrement nocifs pour la santé. Conclusion, l’e-cigarette ne se retrouve pas du tout au même degré de nocivité que le tabac, qui contient notamment la plupart des éléments cités ci-dessus. Toutes ces révélations sont venues à temps pour dissiper le doute au sein des vapoteurs qui sont souvent victimes d’une divergence d’opinions sur la société et sur le web. Grâce à une qualité irréprochable de production et au respect méticuleux des normes de contrôle imposé par le centre de la règlementation de la FDA, les industrielles de l’e-cigarette peuvent être fier de leur travail. Plus important encore, les particuliers peuvent continuer leur habitude (vapoter) sans avoir peur d’attraper un jour un cancer ou une maladie grave. Reste à savoir si les cigarettes électroniques resteront toujours aussi « sans effet » sur une inhalation à long terme.

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